Seul à la maison
Ma première histoire scat, car Sofurry manque beaucoup d'histoires scat en français ;D (et de scat tout court) Je la traduirais bientôt en anglais pour le plus grand public. J'espère que vous apprécierez!
Seul à la maison
Être seul dans cet appartement était quelque chose de terriblement rare pour Siméon. Malgré une chambre pour lui seul et un verrou à sa porte, il n'avait que peu d'intimité, et peu de temps libre pour soulager ses tentions. Quand bien même, ce qu'il s'apprêtait à faire nécessitait une maison vide. Personne ne devait savoir ce dont il était capable. Il ne pouvait pas prendre le risque d'être entendu, ou pire vu.
Très jeune il avait découvert que son corps, en plus d'être naturellement flexible et agile comme ses ancêtres simiesques, permettait une autre forme de souplesse, plus organique. Il pouvait manger tant qu'il voulait, tout du moins autant que sa faim le lui permettait, sans prendre trop de kilos superflus. Se rendant compte de cela, il avait tenté de manger pour deux, pendant deux ans ; il n'avait pris qu'un kilo. Il savait son métabolisme différent de la moyenne, ce qui bien sûr lui était bien pratique.
Ce qu'il apprit de la plus inquiétante des façons, était que la nourriture consommait ne disparaissait bien entendu pas. Ce qu'il mangeait, il devait le rejeter, en même quantité. Aussi le comprit-il le jour où il boucha les toilettes de telle façon qu'il dut jeter les matières dans un grand sac plastique pour espérer déboucher la tuyauterie, et ce avec beaucoup de mal. Probablement l'un de ses jours les plus chanceux : malgré plus d'une heure passée à l'intérieur, à faire des aller-retours paniqué dans la cuisine pour chercher quoi faire, personne n'y était entré pour découvrir la pile de rejets.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, Siméon n'avait pas peur, ni ne craignait cette capacité. Il ne fut pas même peiné de découvrir que déféquer aussi copieusement lui plaisait. Ainsi, à chaque occasion, il se goinfrait comme si c'était son dernier jour sur Terre, quand il savait que le lendemain, ou le surlendemain, il serait seul.
Après deux jours à appliquer ce terrible régime, il se réveilla avec une crampe au ventre, ce qui était tout à fait normal vu ce qu'il s'apprêtait à faire. Il se tapota le ventre, réprimant un petit gémissement d'inconfort.
« Bientôt, bientôt... »
Il ricana, et lâcha en serrant les dents un pet qui aurait bien pu secouer les murs s'ils avaient été plus fins. Le gaz tonitruant dura une dizaine de secondes, et il savait que ce n'était que le début. L'avantage d'apprécier ce genre de choses étaient que les mauvaises odeurs ne le gênait absolument pas. Ça avait son utilité parfois...
Il termina pour le troisième jour d'affilée un petit déjeuner qui aurait nourri trois personnes en lait, céréales et fruits. Lâchant un impressionnant rot, il prépara le mélange d'eau et de javel dans un coin de la salle de bains, et dans un autre coin posa le rouleau de sacs plastiques qu'il devrait utiliser tôt ou tard. Penser à ce qu'il allait faire lui donnait déjà une érection, et une furieuse envie de la calmer ; par moments, il se masturbait quelques secondes, pour faire monter la pression. Il comptait bien battre son record personnel, comme à chaque occasion. Et il avait dans l'idée, quand il rota et péta en même temps durant une vingtaine de secondes, qu'il allait le battre à plate couture. Il devrait peut-être se présenter au Livre des Records, mais cela ferait désordre que sa famille soit au courant.
Son gros sexe rouge tressautant d'impatience, il se décida enfin à s'affaler sur le sol. Sur les fesses, laissant assez de place à son orifice pour tout faire sortir, il se mordit la lèvre inférieure au nouveau gaz qui résonna fortement dans toute la pièce. Il ricana, plutôt fier de lui, avant de gémir et porter sa main à son ventre gargouillant : c'était le bon moment.
Gémissant de plus en plus fort, son orifice se distendit doucement, révélant sa matière, compacte et imposante. Ce n'était que le début, mais il sentait que c'était déjà très large, l'amenant à empoigner fortement sa queue.
« Hmpf ! Oh putain, c'est tellement gros... ! »
Lâchant un dernier gaz, qui eut une durée et un bruit bien plus normaux que les précédent, il sentit un gigantesque serpent se glisser hors de lui, dans un léger bruit humide. À écouter les gémissements qu'il poussait et sa respiration lourde et intense, on aurait pu croire qu'il avait une relation sexuelle. C'était en quelque sorte le cas pour lui : la meilleure façon au monde de se masturber.
Ce qu'il commença à faire quand il vit que sa merde était pour l'instant aussi large que sa propre bite, et qu'il formait une pile non loin de ses fesses déjà sales assez rapidement. Il essayait de s'entraîner à chier plus lentement, mais se masturber en même temps compliquait grandement le contrôle de son orifice, dont il ne pouvait que pousser avec force ou serrer.
Ce premier morceau, deux fois plus grand que son bras étant sorti, il lâcha de nouveau un énorme gaz, qui le fit s'allonger au sol, épuisé par ce premier effort si excitant. Il n'avait pas le regret d'être seul ou délaissé quand il faisait ça, contrairement à certains soirs de masturbation morose. Ici, seule sa performance comptait, et sa démentielle capacité à chier.
La langue sortie, pantelant et toujours aussi gémissant, son trou couvert de saletés et détendu s'ouvrit de nouveau, et bien d'avantage que la première fois, le laissant échapper un petit cri de surprise mêlée d'une excitante douleur. Se branlant un peu plus rapidement, il se redressa, fantasmant sur cet énorme morceau de merde glisser le long de ses parois grandes ouvertes pour venir tâcher le sol, rejoindre le reste du tas. Cette fois, c'était seulement aussi long que son bras, mais large comme son poignet. Suant d'effort et de plaisir, il se sentait sur le point d'éjaculer, mais il se retenait ; il sentait que c'était loin d'être fini.
Il profita d'une accalmie pour toucher son orifice, constatant les dégâts. Il pouvait glisser deux doigts sans le moindre effort, tant il était dilaté et lubrifié par sa propre salissure. Il manqua d'éjaculer quand il étala le contenu de ses doigts sur son membre, appréciant le contact chaud et sale sur sa bite. Se sentir sale de cette façon l'excitait toujours terriblement. Aucune honte, pas même de fierté, un simple plaisir pur de se vider les tripes de façon incroyable tout en se vidant le trop-plein de sperme.
Un nouveau long et bruyant gaz lui indiqua que c'était reparti. La douleur était un peu plus forte, et pour une fois il arriva malgré lui à chier doucement. Poussant de petits cris, il porta la main à son trou, butant contre un étron dont il pouvait tout juste faire le tour. Il le sentit glisser dans la paume de sa main et autour de ses doigts. C'était délicieusement nouveau. Cette fois il se sentait fier, le record étant battu. Appréciant la douleur, il reporta sa main sale sur son sexe qui en tressauta violemment de plaisir. À bout de souffle, les dents serrées, il expulsa un morceau plus long que sa jambe, au moins, et ce n'était pas fini. Cela semblait ne plus jamais finir, et il ne pouvait pas s'en plaindre ; il se recouvrait le bas-ventre de pré-sperme tant il voulait que cela continue. La merde qui sortait continuellement de son trou usé pressait sans relâche sur sa prostate, et même d'avantage avec le temps, le rendant dingue. Il poussait de longs gémissements, criant parfois quand la douleur ou le plaisir l'assaillait un peu trop violemment.
Sa merde s'était étalée sur la majorité du sol de la petite salle de bains, formant entre ses jambes une pile démesurée d'immondices. Et pourtant, il n'avait pas tout à fait terminé. Il voulut se retenir pour profiter, mais son orifice en décida autrement, se contractant un très cour instant avant de se remettre à pousser de toutes ses forces. Se sentant piégé dans cet état, il poussa un dernier gémissement entre ses dents avant d'éjaculer, recouvrant son ventre, son torse, et la merde qui continuait de sortir douloureusement. Elle écrasait sa prostate en plein effort, qui semblait exploser de plaisir et le faire éjaculer d'avantage que d'ordinaire. Ses yeux se révulsaient dans leurs orbites, perdant un instant son souffle alors qu'il se vidait autant les couilles que les intestins. Il n'y avait pas meilleure façon d'éjaculer que de chier plusieurs kilos de merde plus large que ce que son trou avait habitude de produire ou accepter, la queue sale et crachant du sperme à tous les coins.
Allongé au sol, il continuait de chier après même avoir éjaculé, à bout de force. Malgré la largeur imposante de ses matières, elles semblaient sortir toutes seules, sans effort. Il continua encore une longue minute, expulsant un dernier long gaz qui n'émit aucun son, lui donnant l'effet de se dégonfler comme un gigantesque ballon de baudruche, tant son trou était élargi et détendu.
Il dut attendre quelques minutes, couché dans sa saleté, le sexe sale étalant les tâches dans son pelage, pour enfin se relever douloureusement, et boitillant il commença son long travail de nettoyage.
Il se nettoya d'abord sous la douche, ne lésinant pas sur le savon pour faire disparaître toutes les odeurs, avant de remplir gants en latex aux mains trois gros sacs plastiques noirs de ses matières. Il aurait peut-être dû en utiliser un quatrième sac, mais il avait peur que cela se remarque. Les sacs bien pleins, il s'habilla rapidement pour les jeter dehors, dans la benne à ordures où leurs odeurs seraient facilement confondues avec le reste. Il était assez fier de voir trois gros sacs gonflés de ses déchets ; jusque là il n'en avait eu besoin que de deux. Et son orifice était douloureux, comme il l'appréciait dans ses moments-là et ceux passés avec un autre mâle.
Nettoyer le sol et faire disparaître l'odeur n'était pas mince affaire. Toutes fenêtres ouvertes, armé de javel et de serpillière, il lui fallu plusieurs passages pour que l'odeur s'atténue. L'odeur n'était pas méphitique, témoignant même de sa bonne santé, mais cela restait une odeur désagréable pour les autres et bien sûr difficile à expliquer. Il lui fallut plus d'une heure fatigante pour en venir à bout.
Il savait que c'était un fétiche sexuel difficile à assumer pour les autres, et très mal vu par la majorité, mais il s'en fichait. La fierté était là, il se contentait de ne pas en parler à ceux qui n'appréciaient pas cela. Il n'avait connu qu'un ou deux partenaires un peu effrayants qui appréciait ce genre de choses, mais ils étaient soient trop soumis, soient trop dominateurs, et franchement désespérés. Ils ne savaient pas pour son talent, mais réclamaient régulièrement des photos, ou des vidéos à défauts de « soirées merde et pisse » comme l'un d'eux disait. Il aurait peut-être dû filmer ou photographier, mais il ne l'aurait gardé que pour lui, et les futurs gars intéressants qui ne lui foutrait pas la trouille.