Morbiyus Chapter 7
#7 of Morbiyus
« Morbiyus ! » Cria Shad, s'arrêtant soudain de danser.
Il tenta de se diriger vers le bar. Matthew n'était plus là, Morbiyus non plus. Il chercha partout son frère, le retrouva, et lui dit qui était cet ours. Vince bondit, et courut hors de la boîte, suivit de près par Shad. Arrivé à leur voiture, ils virent que leurs pneus étaient crevés. Ils coururent donc sauver Matthew, espérant qu'il n'était pas trop tard.
L'ours se calma, et malgré son apparence repoussante, parut un instant très doux et gentil. Il caressa la joue de Matthew, et lui dit que tout se passerait bien, car personne ne viendrait les gêner. Tout cela ne rassura bien sûr pas Matthew. L'ours tapa de nouveau sur le lit, faisant sursauter Matthew, et une gerbe de sperme mélangé à de la salive coula le long de sa langue, tombant sur le sexe de Matthew, qui malgré la peur trouva cela plutôt agréable. L'ours cria, encore plus fort. La base de son sexe grossit, forme une boule plus grosse que le poing, et cette boule se déplaça le long de son sexe, qui crachait un peu de sperme. Matthew était terrifié. Cet ours, Morbiyus, avait pondu un uf, par son pénis, un uf plus gros que le poing. Il saisit l'uf, et le frotta contre l'anus de Matthew, qui tenta de se débattre. Morbiyus lui lécha le sexe, répandant un peu de sperme. Puis il poussa lentement. Matthew lui hurla que ça ne rentrerait jamais, mais il n'écoutait plus. Il n'arrêtait pas de pousser, faisait rentrer l'uf recouvert de sperme. Puis l'uf commença à rentrer tout seul, de lui-même, comme si quelqu'un l'aidait, alors que lui seul rentrait. Plus il rentrait, plus le sexe et la langue du monstre sécrétaient de sperme. Ce fut la douleur la plus insupportable que Matthew eut pu connaître, même le catch ne lui avait fait aussi mal, et pourtant, il avait une fois frôlé la mort. Plus il poussait, plus la douleur était insupportable, et plus il poussait, plus Matthew hurlait. Il crut qu'il allait se déchirer quand la douleur partit progressivement, mais plutôt vite. Il sentait un liquide couler en lui, qui le brûlait de l'intérieur. Le monstre sourit, et caressa les fesses de Matthew, qui réagit vivement. Le plaisir était immense. Une simple caresse fut pour lui une sensation incroyable, il en cria de plaisir. La douleur reprit de plus belle.
Shad, durant sa course, chuta. Son genou droit dégoulinait de sang, et il pouvait à peine poser le pied à terre, à cause de la douleur.
« Mais allez ! Cria Vince.
_On n'arrivera jamais à temps !
_Et pourquoi ?
_C'est lui qui nous ralentit. »
Vince regarda Shad, assis au bord du trottoir, la larme à l'il et le genou en sang.
« On va pas le perdre, hein ? Demanda Vince, en voyant la larme de Shad.
_Mais non... Mais, plus on avancera, plus ce sera dur, dit-il en se relevant. »
Vince eut une idée, en d'autres circonstances stupide. Il le porta sur son dos, et se mit à courir. Il était un peu lourd, et c'était très dur de courir avec ce poids sur le dos, mais il le faisait. Shad était le plus fort des deux, mais c'était le premier à avoir souffert. Shad, peu soucieux de sa blessure pourtant très douloureuse, n'espérait qu'une chose : aider et sauver Matthew.
Morbiyus frotta son sexe dégoulinant contre l'anus de Matthew, qui n'en pouvait plus de plaisir. Il grognait, il criait. L'ours, dont les dents étaient devenues pointues, bavait, et sécrétait du sperme par la langue. Il le pénétra violemment, arrachant à Matthew un cri de douleur, une douleur pire que la précédente. Il sentait ses va-et-vient, comme des déchirements en lui. La langue de l'ours versait du sperme partout, sur lui et sur le lit. Il était terrorisé. Qu'y avait-il dans cet uf ? Allait-il mourir ?
Ce fut au tour de Vince de tomber. Shad n'eut rien, mais Vince se fit une profonde écorchure à l'avant-bras en tombant sur le bord du trottoir. Il évita de justesse une voiture, et remarqua que son genou aussi saignait. Sauf que son avant-bras pissait le sang.
« On y arrivera jamais, dit Vince.
_Si. Allez, faut y aller !
_Non, j'ai trop mal ! Et c'est pas parce que t'es fou amoureux de lui que moi je le suis forcément, j'ai mal ! »